calendar icon Jeudi 25 Janvier 2024 - 20h00

ROBERT FINLEY – NAT MYERS

  • Blues
  • Offre duo
Complet
Offre abonnés Les Nuits de l'Alligator 2024

A boire, à manger, à voir

Bar

  • Bières
  • Sodas
  • Jus de fruits
  • Vins
  • Alcools

Foodtruck

  • Hot-dogs

La Coopérative de Mai :

Petite Coopé

accessibility icon Accessibilité

Tarifs :

  • Citéjeune : 7€
  • Carte Coopé / tarif réduit : 11€
  • Prévente : 15€
  • Soir : 18€

Offre duo Carte Coopé :

1 PLACE ACHETÉE = 1 PLACE OFFERTE !
(dans la limite des places disponibles)

L'évènement

En glissant silencieusement à la surface du bayou, entre les ilots et les jacinthes d’eau, la barque nous emporte vers la scène, au loin, où le soleil plonge derrière les cyprès chauves. C’est sûr, cette dix-huitième Nuit de l’Alligator sera chaude et moite, et ce ne sont pas Nat Myers et Robert Finley qui diront le contraire. Ils ont 37 ans d’écart, mais ils boivent à la même source, celle du blues rural du sud des Etats-Unis, que le premier joue comme en 1935, et que le second décline et fait danser dans la soul authentique.

Les artistes

  • ROBERT FINLEY
    Suivez l'artiste :
    Avec un nouvel album bouillant titré Black Bayou, Robert Finley devait finir par croiser les Nuits de l’Alligator. A vrai dire, c’est pour des artistes comme lui que ce festival a été créé il y a bientôt 20 ans. Des burinés, des rustiques, des vrais de vrai comme on n’en fait plus. Après avoir vécu mille vies, militaire, chanteur de gospel ou menuisier, il sortait son premier album en 2016, à l’âge où d’autres prennent leur retraite. Trois albums plus tard, Robert Finley incarne la géniale permanence de la musique sudiste authentique, entre blues swampy et soul rugueuse. Propulsé sur la scène internationale depuis sa rencontre avec Dan Auerbach des Black Keys (dans le rôle de producteur), Robert Finley est un vrai phénomène, un monstre d’énergie, de générosité et de bonnes vibes du bayou. Le dernier des alligators !
  • NAT MYERS
    Suivez l'artiste :
    Et sinon, quoi de neuf dans le vieux blues ? Celui d’avant-guerre (celle de 39-45), joué sur une guitare en bois ou en métal, en tapant du pied et en chantant avec son cœur et ses tripes ? Ce bon vieux blues rural, influence majeure de toutes les (bonnes) musiques qui l’ont suivi, existe toujours, et pas seulement en 78t ou sur des rééditions en noir et blanc. Aujourd’hui, Nat Myers est dans le top 5 mondial de ceux soufflent sur les braises et remettent de la vie dans le folk-blues. Un jeune américain qui a vécu quelques années de bohème, sa guitare sur le dos, avant de croiser lui aussi la route de Dan Auerbach. Ensemble, ils ont enregistré à l’arrache un premier album, Yellow Peril, qui convoque les grands esprits de Charley Patton, Muddy Waters ou Mississippi John Hurt.

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