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LES NUITS DE L'ALLIGATOR
LES FILLES DE ILLIGHADAD - ALTIN GÜN - KEPA

Et si c’était vraiment le concert de l’année ?

Blues rural et squelettique, rock turc très psychédélique, musique touareg magique, les parfums exhalés par Les Nuits de l’Alligator embaument la planète et révèlent de belles âmes, de vrais musiciens. Embarquement immédiat pour les bords du Mississippi avec Képa, auteur d’un blues post-moderne tranché vif sur une guitare d’acier, direction la Turquie des années 70 avec Altin Gün et Jasper Verhulst, ci-devant bassiste de Jacco Gardner (l’homme a du goût), et destination le Niger avec Les Filles de Illighadad, trio originaire d’un petit village du massif de l’Aïr. Une poésie lancinante et mélodieuse, bleue comme les crépuscules du désert…

salle : Petite Coopé
style : Divers
placement : Debout
Tarifs :
  • Location : 15€
  • Soir : 15€
  • Carte Coopé / Abonnés : 11€
  • #WENEEDMUSIC : 7€
  • Citéjeune : 7€
  • Tarif réduit : 11€
LES FILLES DE ILLIGHADAD

Fatou Seidi Ghali, Alamnou Akrouni et Mariama Salah Assouan – viennent de la région des Illighadad, en plein cœur de la brousse du Niger, rarement on aura entendu des sons qui résonnent avec autant d’émotion que ceux des Filles de Illighadad. Fatou Seidi Ghali dirige ce groupe à la guitare et au chant, avec son jeu mesuré et calme, elle est l’une des seules guitaristes féminines de musique touareg, dans un monde dominé par le genre masculin. Ensemble avec ses cousines Alamnou et Mariame, au chant, elles vont droit à l’essence de cette musique des « ishumars », la mélangeant sur scène avec la tradition du « Tende », enregistrant leurs morceaux dans un grand studio ouvert : le désert. Une musique minimaliste, poétique et féminine où les rythmiques transes et ancestrales des
« Tendes » viennent soutenir un blues lancinant et mélodieux. L’Amour, la religion, les difficultés de la vie, la joie de la communauté, la glorification de la nature et la culture Touaregs sont les thèmes distillés au gré de leurs morceaux.
 

ALTIN GÜN

KEPA

Bastien Duverdier se cache derrière Képa. Il joue de la guitare, de l'harmonica et compose ses propres morceaux de blues. Pourtant à 27 ans, rien ne prédestinait ce skateur professionnel à monter sur scène… Il se met à gratter sur une guitare. Il compose ses premiers morceaux. Peu à peu, il crée son genre : le post modern blues qu'il joue sur des guitares acoustiques, en acier, amplifiées, un modèle fabriqué dans les années 1930 aux Etats-Unis.